Cette année printemps 2018 dans la continuité de la découverte de l’Europe de l’Est, après Prague c’est Budapest en Hongrie.
Avec plus de 1 000 ans d’une histoire à la fois splendide et douloureuse, Budapest, grande cité de la Mitteleuropa, a beaucoup à offrir.
Ville cosmopolite autrefois prospère, elle a vu le XXe siècle et ses conflits meurtriers semer la désolation et la terreur. Abîmée par les guerres, asservie par le nazisme, appauvrie par le communisme, la grande dame a retrouvé toute sa fierté à l’occasion de l’adhésion de la Hongrie à l’Union européenne. Aujourd’hui, tournant le dos aux années de plomb, Budapest présente le visage d’une capitale bouillonnante, jeune et pleine de vie.
Grâce aux investissements étrangers, les immeubles de style Sécession ont retrouvé une 2de jeunesse, et de nouvelles architectures ont surgi du sol. Le renouveau s’est traduit aussi par la construction de nouvelles infrastructures, comme la ligne n° 4 du métro financée à 90 % par l’UE.
Un vaste chantier de rénovation des quartiers officiels, entrepris par le gouvernement national-conservateur depuis 2010, restaure le prestige de la capitale tel qu’il rayonnait à la fin du XIXe siècle. Mais, passé le centre touristique de Belváros, la Budapest des banlieues a encore de la peine à masquer les stigmatisations de son passé.
Qu’à cela ne tienne, désormais desservie par les compagnies aériennes low cost, la « perle du Danube » est en passe de prendre le relais de Prague ou de Berlin, en ce qui concerne les « lieux où il faut être », grâce à des atouts indéniables : on y danse et on assiste au festival de Sziget sur les bords du Danube au plus fort de l’été, on vient y prendre les eaux au son de la techno dans des bains somptuaires et on y tourne des films à tour de bras.
Avec ses musées d’art, ses restos pour tous les goûts et ses ruin pubs où l’on écluse des bières jusqu’au bout de la nuit, Budapest est désormais bien sur l’orbite des capitales « tendance » !
Du 7 Mai au 11 Mai
On a décidé de partir de Nice, et ce ne fut pas simple de trouver un avion, obligé d’avoir une escale par l’allemagne.
Aller retour pour deux 375€.
On a mangé bien tôt avant de prendre l’avion, une sorte de brunch
| 13:15 Nice (NCE) 14:35 Munich – Franz Josef Strauss (MUC) |
Lufthansa Economy Light |
Duration: 01 h 20 min Layover: 04 h 05 min |
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| 18:40 Munich – Franz Josef Strauss (MUC) 19:50 Budapest (BUD) |
Lufthansa Economy Light |
Duration: 01 h 10 min | ||||
L’escale a été super longue, comme on avait mangé tôt, on a pris une collation un breitzel !!!! et un café (la je passe le temps pour comprendre la machine à café) + dans l’avion les gouters salés (petit sandwich dinde ou fromage ou poulet crudité) et la boisson, pour info pour que cela soit rentable, au lieu de prendre juste un verre de quelque chose (jus ou soda) demandez une biere, on vous sert la bouteille de 33cl et une bonne bière allemande en plus!!!


Arrivée à l’aeroport de Budapest vers 19h50… , on doit retirer de l’argent et trouver le guicher pour acheter les billets de bus 100E ligne directe (3 arrets) centre ville de Budapest à quelques mètres de notre chambre. 900 Forints (billet vendu en 2 fois un pour faire aeroport entrée de la ville et le deuxième circulation en ville 550 et 350 forints soit 3euros / personne) toutes les 20min.

Moi dans le bus!! Vers 20h
Arret la station Deák tér, à 450m de l’hotel parfait




On trouve l’hotel plus ou moins facilement, maintenant que l’on a un forfait etranger grace à Red, 15€ par mois pour 2h appels et 1g0 internet, on peut se diriger. L’entrée se trouve sur un porche entre bar à vin et glacier. C’est en fait une auberge de jeunesse avec que des jeuns qui ne sont pas que Hongrois. on paye les taxes de sejours, le reste à été payé en ligne, on demande pour le petit dej, il est possible de boire café the mais le petit dej pour 5€ nous donne un bon pour prendre lepetit dej dans un bar du coin. On décide de ne pas le prendre, on dejeunera nous même en balladant ou à la chambre.

Notre chambre qui est en fait une location de studio / appartement se trouve dans un autre immeuble de l’autre côté de la place Szent István tér, au milieu d’autres habitants independants de Pal’s appartement à côté de la Basilique la plus célébre de BudaPest Saint Etienne

7ième étage, on trouve la petite porte, on pose les valises le studio est pas mal grand je dirai 30m² séparé en deux en entrant à gauche douche et wc séparé , droite le kitchenette (frigo et quelques condiments!!) et en continuant tout droit à gauche le lit et à droite un canapé lit avec dressing et table et chaises, bien lumineux que des grandes baies vitrées.
vue depuis la chambre :

Ayant grignoté dans l’avion le snack salé (petit sandwich), on sort faire un tour aux alentours, sachant que l’on a repéré à côté de l’entrée de l’hotel un glacier rcommandé sur lonely planet, des boules de glaces en forme de rose!!! Allons chercher ce dessert chez Gelarto Rosa (moi pistache noisette caramel et Ben framboise chocolat caramel) pour 3€ euros chacun

On se trouve vraiment au centre ville, pas loin du Danube, on décide de longer le Danube en passant devant le parlement en traversant par l’ile Marguerite, les quais en fac du Parlement en reprenant le pont Chain Bridge. On passe la rue Zrínyi u perpendiculaire à la Basilique Saint Etienne, on arrive au square Széchenyi tér, vaste place bordée d’édifices élégants tels le Palais Gresham,
le siège de l’Académie hongroise des sciences ou celui du Ministère de l’Intérieur (Hongrie), on y trouve également des constructions contemporaines tel l’Hôtel Sofitel de Budapest Puis au pied du pont chain bridge, on part sur la droite pour longer côté Parlement.
Promenade très sympa le long du Danube, cela donne envie de courrir, on repere les restau, bar le long du danube, des bateaux mouches qui proposent plein d’excursions. On profite de la magnifique vue sur le chateau Budavar et Église Notre-Dame-de-l’Assomption de Budavár.


Le long du Danube sur la promenade on tombe sur les chaussures, soixantaine de paires de chaussures en métal, scellées sur les rives du Danube, sur quarante cinq mètres de long. Il représente les personnes fusillées par le parti des Croix fléchées sur ces rives qui devaient se déchausser avant leur exécution.
On arrive devant le parlement de Hongrie ( Országház) est un vaste bâtiment, inauguré au début du xxe siècle, situé sur la rive orientale du Danube à Budapest. Depuis 1902, il est le siège de l’Assemblée nationale de Hongrie et héberge à ce titre les services parlementaires ainsi que la Bibliothèque de l’Assemblée nationale de Hongrie (OGyK). Cet édifice, dont les volumes s’organisent autour du dôme central, possède une façade néo–gothique projet qui s’inspirait du palais de Westminster achevé à Londres en 1836 mais un plan au sol qui suit des conventions baroques. En 2010, il s’agit encore du plus grand bâtiment de Hongrie1 et d’un des plus grands parlements d’Europe avec 18 000 m²
Budapest fut fondée en 1873 par l’union de Buda, Pest et Óbuda ; sept ans plus tard, l’Assemblée nationale de Hongrie décida de créer un nouveau bâtiment destiné à exprimer la souveraineté de la nation. La construction commença en 1885 et le bâtiment fut inauguré à l’occasion du millénaire de la Hongrie en 1896. L’Assemblée nationale de Hongrie s’y réunit à partir de 1902. Un millier de personnes environ travaillèrent à ce chantier, où furent utilisés 40 millions de briques, un demi-million de pierres semi-précieuses et 40 kg d’or. Après la Seconde Guerre mondiale, l’Assemblée nationale de Hongrie fut réduite à une seule chambre et seule une partie du bâtiment est utilisée de nos jours. Le 23 octobre 1989, Mátyás Szűrös déclara la République de Hongrie depuis le balcon du parlement donnant sur la place Lajos Kossuth.
Comme le Palais de Westminster, le parlement hongrois possède une façade symétrique de style néogothique. Il est long de 268 m et large de 123 m, possède 10 cours intérieures, 13 ascenseurs, 27 portes, 29 escaliers et 691 pièces (dont plus de 200 bureaux).


Avec un dôme haut de 96 m, c’est un des deux plus hauts bâtiments de Budapest avec la Basilique Saint-Étienne de Pest. Le nombre 96 a été choisi pour rappeler le millénaire de la nation hongroise (1896). La façade principale se trouve sur le Danube, mais l’entrée officielle est de l’autre côté, sur la place Kossuth, et communique avec l’escalier d’apparat.
Les escaliers monumentaux de l’entrée principale sont encadrés par deux lions.

L’intérieur et l’extérieur sont décorés de 242 sculptures. Sur la façade sont disposées les statues des souverains de Hongrie, des souverains de Transylvanie et de héros militaires du pays. Au-dessus des fenêtres se trouvent les armoiries des ducs et des rois. À l’intérieur, le visiteur découvre l’escalier d’honneur aux plafonds décorés de fresques de Károly Lotz et le buste de l’architecte Imre Steindl dans une niche du mur. Une des parties les plus spectaculaires du bâtiment est le hall central hexadécagonal (à seize côtés), et les immenses salles adjacentes : la chambre basse (où se réunit aujourd’hui l’Assemblée nationale de Hongrie) et la chambre haute (utilisée jusqu’en 1945).

La Couronne de saint Étienne est exposée dans le grand hall depuis 2000. Des vitraux de Miksa Róth décorent les fenêtres. Du fait de sa taille et de sa décoration abondante, le bâtiment est presque constamment en cours de rénovation.


On contourne le Parlement et on remonte sur le coté sur la place István Tisza Monument, on longe toujours le Danube à travers le parc Olimpia afin d’arriver au Pont Sainte Marguerite (Margit Hid) et de traverser le Danube, qui relie le 2ieme arrondissement
sur la rive occidentale (Buda) au 5ieme et 13ieme arrondissement sur la rive orientale (Pest) Ce pont permet en son milieu permet d’accèder à l’ile Ste Marguerite
Axe de communication important de la ville, le pont est notamment parcouru par les lignes 4 et 6 du réseau de tramway.
Elle est actuellement recouverte par des espaces verts et est considérée comme le « poumon » de Budapest par ses habitants. Elle abrite le quartier de Margitsziget Le nom de l’île vient de Sainte Marguerite, fille du roi Béla IV, qui y résida dans un couvent dominicain jusqu’à sa mort en 12711. À cette époque, l’île était nommée l’Île des Lièvres (Nyulak szigete).
Après la traversée du pont on rellonge le Danubeen descendant, on voit les bateaux mouches hotels, on longe le tram, on admire le parlement d’en face de nuit super bien eclairé avec le reflet sur l’eau.
On passe devant Église paroissiale Sainte-Anne de Felsővíziváros, catholique, la plus belle édifice baroque, puis un peu plus loin devant le Temple calviniste de Szilágyi Dezső tér de type calvinisme ( doctrine théologique protestante et une approche de la vie chrétienne ). On continue notre route, on arrive vers le pont et on aperçoit l’entrée du Tunnel du Château de Buda Budai Váralagút. On se dirige vers le Chain Bridge, qui est un pont suspendu ( pour diminuer les dégâts causés par la débâcle et par les crues. ) il possède un tablier long de 360 mètres supporté par deux tours, un exploit technique pour l’époque (1839). Il fut le premier pont permanent sur la section hongroise du Danube et constitue l’emblème de Budapest.
Deux lions de pierre gardent, de chaque côté, la tête du pont aux Chaînes. La légende rapporte que leur sculpteur, János Marschalkó, se suicida en se jetant dans le fleuve parce qu’il avait oublié de les doter de langues. En fait les lions possèdent bien des langues mais elles ne sont pas facilement visibles.
On repasse le pont et on revient au point de depart le square Széchenyi tér , puis on reprend la rue Zrínyi u où tout au bout on aperçoit la Basilique St Etienne.

Retour à la chambre après cette ballade de 2h de 7km, dodo car demain exploration de la ville et tout à pied!!!






