On était au petit dej à l’ouverture car on partait en car à 7h40!!!
Et il faisait déjà un grand beau soleil très agréable.
En attendant le bus, on a pris quelques photos de l’entrée de l’hôtel
Voici le périple de prévu
En roulant j’ai pris quelques photos dans le bus, bon évidement elles ne sont pas de très bonnes qualités, prises en roulant à travers des vitres salles.
Djerba a 300 jours de soleil par an. Le long de la route on a pu voir des kilomètres de sables avec des palmiers par-ci par-la, ainsi que des oliviers qui sont cultivés à l’ancienne, d’où l’espace entre chaque arbre pour y mettre des toiles.
Sur cette photo ce fut notre premier arrêt, c’est la liaison romaine entre l’ile et le continent, 7km (que l’on voit à droite de la photo). Les deux autres moyens d’accès à l’ile sont le bac et l’aéroport.
On s’est ensuite dirigé vers Guellala, cette petite ville, située dans le sud de l’île de Djerba, est célèbre dans tout le pays pour ses poteries. Grâce aux riches gisements d’argile environnants, cette activité dure depuis plusieurs siècles voire millénaires.
A savoir qu’en Tunisie l’extérieur des maisons n’est pas terminé (crépi), c’est déductible des impots.
Quelques habitations :
Atelier poterie qui était en fait aussi une boutique :
Le « potier » nous a montré la confection d’un vase avec capuchon en deux sec, et il nous a aussi montré ce qu’est un dromadaire magique!!! »
C’est une poterie artisanale en argile typique de la Tunisie, en particulier de l’île de Djerba. Cette poterie est souvent présente dans les souks où les touristes peuvent l’acheter comme souvenir.
Constitution
Le phénomène qui le rend « magique » est le fait qu’il est possible d’introduire un liquide par deux ouvertures sur le haut de la bosse et à la base de la poterie ; celui-ci s’échappe ensuite par le bec, représentée par le cou sinueux coiffée par la tête et une grande bouche, comme dans une théière ordinaire.
En présentant la pièce à l’acheteur, le vendeur fait généralement observer qu’il se prête au mélange de deux liquides, comme le café et le lait, introduits séparément en haut et en bas, puis ressortant mélangés par la bouche. En effet, lorsqu’on insère un liquide par le trou supérieur, le liquide ne coule pas une fois la poterie retournée. Il est ensuite possible de mettre un autre liquide par le trou inférieur ; même en secouant la poterie, aucun des deux liquides ne sort par le haut ou par le bas. En revanche, ils sortent uniquement par la bouche.
Cet effet est obtenu par un système de tubes internes qui partent des extrémités, inférieure et supérieure, et empêchent la fuite du liquide par l’ouverture d’où il est entré. La fabrication de ces pièces, qui exige la préparation de tubes en argile très fins, est réalisée à la main sur le volant du tour et exige une grande habileté de la part du potier.
La ruelle :
Nous n’avons rien acheté car on s’en quand même que le tour opérateur nous fait aller dans cette boutique afin de faire travailler ce type la en particulier, et aucun prix marqué contrairement à certaines boutiques nommées « Prix Fixes ».
Nous sommes donc allé au Musée des arts et traditions populaires, qui retrace par des mannequins les rites locaux. Cependant on a eu à peine une heure pour voir les 27 pièces ce qui fut un peu juste, on a un peu couru.
Avec plus de 4000 m2 d’espaces couverts fonctionnels, le musée offre une série de pavillons spécialisés et indépendants, développant chacun un thème autonome : fête, traditions & coutumes, artisanat, mythes et légendes, architecture originale, musique traditionnelle, une galerie de peinture.
A l’intérieur du musée il y a une grande coure intérieur:
Une photo de l’un des pavillons, l’épilation ^^
Depuis le musée on a une vue extérieur en hauteur :
Avec derrière un dromadaire :
Daux autres pavillons : la présentation de la femme et les hommes en « trans », un qui se pique avec des feuilles de cactus, un qui avale un scorpion, …
Dans la cour intérieur il y avait un dromadaire qui écrasait la paille, et un autre en sous sol d’un pavillon qui écrase des olives :
Ben à la sortie du pavillon, l’autre photo représente une fenêtre tunisienne qui permet aux femmes d’observer ce qui se passe dehors sans être trop aperçue.
Une fois le musée fini (10h30) direction la Synagogue de la Ghriba.
La synagogue de la Ghriba est une synagogue tunisienne qui constitue l’un des principaux marqueurs identitaires des Juifs de Djerba, l’une des dernières communautés juives vivantes du monde arabe. Elle fait l’objet d’un pèlerinage annuel, à l’occasion de la fête juive de Lag Ba’omer, rassemblant plusieurs milliers de pèlerins. C’est aussi l’une des principales attractions touristiques de l’île de Djerba. Sa renommée est basée sur les nombreuses traditions et croyances qui soulignent son ancienneté et le fait qu’elle contiendrait des restes du Temple de Jérusalem. Historiquement, le pèlerinage rassemblait les membres des communautés locales et plus largement les Juifs de Tunisie et de la Libye voisine. Avec le départ des Juifs des pays arabes, les visiteurs viennent surtout de France et d’Israël. En 2002, l’édifice a été l’objet d’un violent attentat attribué à Al-Qaida.
Les photos qui vont suivre vont vous faire vraiment marrer, pour rentrer dans la synagogue, on devait se couvrir la tête
Terminée la visite dans la synagogue, direction le chef lieu de Djerba, Houmt Souk, qui tire son nom de tous les souks. Avant de se balader en ville et dans les souks, on nous a amené voir un fabricant et marchand de tapis, où personne n’a rien acheté. Par contre parmi les souks il y a des prix fixes où on a pu faire quelques emplettes, à savoir que l’on peut négocier aussi les prix sur certains articles… les tapis par exemple.
13h15, direction l’hôtel pour manger, la visite est terminée.
Sur la route du retour j’ai pu voir au loin une traversée de dromadaires :
Au bord de la route, toujours du sable et des palmiers et une maison perdue au milieu de tout cela.
Nous avons passé le reste de la journée à glander à la piscine.
Le soir nous avons fait quelques photos => http://blog.dorier.fr/?p=1082