Italie jour 6 : Pise et retour en France

Et voila dernier réveil en Italie 9h.

On va au petit déjeuner (avant on vérifie sur le net que l’on a bien droit au petit déjeuner^^) qui est un buffet : gâteaux chocolat et miel, biscottes, yaourts, pâtés…

 

 

 

 

 

On range les affaires à la voiture qu’on laisse garer le temps de finir de faire la ville, on paye en partant la chambre, la taxe et le parking :  » je vous avais dis 5 € pour le parking? » Ben « 5€ …. oui oui » dans certains cas il ne faut pas hésiter.

Donc on repart vers la tour de Pise, piazza dei Miracolli en espérant qu’il fera meilleur temps pour les photos..; rater, un grand vent et quelques gouttes et tout de payant pour visiter le baptistère ou le  dôme.

La Tour, campanile de la cathédrale, construite dans le style roman, elle est haute de 55,86 mètres côté sud (et de 56,70 m côté nord, du fait de son inclinaison). La légende dit que, du haut de cette tour, Galilée mesura, vers la fin du XVIe siècle, le temps de chute de divers corps et put établir que la vitesse de leur chute était la même pour tous, et non pas proportionnelle à leur masse comme le supposait Aristote auparavant.

La construction de l’édifice commença le 9 août 1173 et s’étala sur trois siècles. Dès la fin de l’ajout du troisième étage vers 1178 la tour avait commencé à pencher et la construction fut interrompue pendant 90 ans.

À partir de 1272, les quatre étages supérieurs furent donc posés en diagonale pour compenser l’inclinaison. La construction s’interrompit alors à nouveau de 1301 à 1350 et ce n’est qu’en 1372 que le dernier étage des cloches, de diamètre moins important, fut achevé.

En 1838, un bassin fut décaissé à la base de la tour pour mettre à jour la base des colonnes qui s’étaient enfoncées sous terre.

La cathédrale Notre-Dame de l’Assomption de Pise  se trouve aux côtés de la Tour Penchée (ou Campanile) et d’un cimetière sur la Piazza Del Duomo, à Pise en Italie. Le baptistère lui fait face.

Ce bâtiment de style roman fut construit à partir de 1063., avec un appareillage alterné de marbre clair et sombre, présente comme plan d’ensemble une croix latine.

Des portes de bronze, fondues en 1602 d’après les dessin de Jean de Bologne, remplace celles existant à l’origine.

L’intérieur est constitué de cinq nefs d’une longueur de 100 mètres, agrémenté d’un plafond à caissons datant du XVIIe siècle. Les colonnes corinthiennes en granit situées entre la nef et l’abside proviennent de l’ancienne mosquée de Palerme, ramené comme butin lors de l’expédition de 1063

Le baptistère Saint-Jean de Pise (Battistero di San Giovanni) fait face à la cathédrale de Pise. Sa base est de style roman d’influences pisanes et lombardes puis gothique à partir du second étage. C’est un exemple du passage du style roman au style gothique : la construction du baptistère, en marbre blanc,

Depuis la piazza dei Miracoli, on a emprunté la via Santa Maria, artère principale de la ville. Sur la gauche, la via dei Mille vous mènera sur la piazza dei Cavalieri, l’une des places de Pise. De palais l’entourent ; parmi eux, le palazzo della Carovana, du XVIe siècle, décoré par Giorgio Vasari, abrite la prestigieuse Scuola Normale Superiore, « succursale » fondée par Napoléon de l’École normale supérieure de Paris.

En face, le palazzo dell’Orologio relie deux anciennes tours médiévales par un passage voûté. C’est dans l’une de ces tours que le comte Ugolino della Gherardesca, plaint par Dante Alighieri, fut enfermé.

 

 

 

Visitez la Chiesa Santo Stefano dei Cavalieri, édifiée au XVIe siècle.

 

 

 

 

Le quartier situé à la gauche de la via San Frediano, avec son marché quotidien.  Au bout de la via Domenico Cavalca, la piazza delle Vettovaglie constitue le cœur de ce Pise populaire : c’est ici qu’au XVIe siècle fut instauré le marché à blé, aujourd’hui marché tout court.

Près de la place delle Vettovaglie, le Borgo Stretto est l’ancien axe commercial de la ville: il fait bon se balader sous ses arcades, destinées à protéger les marchandises. Au bout, vous gagnerez la piazza Garibaldi, donnant sur le Lungarno Mediceo… c’est ici que l’Arno s’offrira enfin à votre vue, paisible et sinueux, bordé d’édifices.

Notre périple:

Quand on a eu terminé notre petit tour, on est allé récupérer la voiture à l’hôtel et on a décidé de rentrer (en plus il venait de se mettre à pleuvoir). On a mangé en route.

On a mit 6h pour rentrer sur Fontvieille le jeudi soir.

On est arrivé sur Grenoble le dimanche 22 avril, en tout on a fait 2000km!!!!!

Notre carte du trajet :

 

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