Prague 2ième jour 1er mai

On a dormi un petit peu, on va au petit dej pour 8H30 / 9h, un beau petit buffet, du salé / sucré

On retourne sur la place Venceslas que l’on a visité hier soir, afin de finir de remonter la rue et d’arrivée en centre ville de Prague, la vieille ville

PAs mal de batisses et façades, des grandse enseignes, des magasins de souvenirs et d’oeufs!!

on trouve dans une petite cour intérieur cette boutique d’œufs

on trouve un petit passage et on trouve cette église notre dame des neiges

Bordant la face sud de l’église Notre-Dame-des-Neiges, le jardin franciscain est un véritable havre de paix et de recueillement au coeur d’un quartier très touristique. Ancien jardin médicinal d’un couvant franciscain, les herboristes amateurs pourront y découvrir des centaines de plantes cultivées par les moines au XVIIè siècle pour leurs préparations


on arrive au bout de la grande place, des stands de saucisses et de petits gateaux bizarres, roulés et qui tournent à la broche…

On va se rendre dans les ruelles piétonnes dans la vieille ville, en passe devant un marché fixe comme j’aime bien Havelske
Ce marché, le seul a être resté dans le centre historique de Prague, date de 1232. Au départ, il s’étendait non seulement dans la rue Saint-Gall (Havelská), là où se dressent aujourd’hui les stands des forains, mais aussi dans la rue Rytířská, parallèle à la première, et dans celle du Marché au charbon (Uhelný trh). Vous y trouverez aujourd’hui un large choix de fruits et légumes frais ainsi que des souvenirs de Prague, surtout le week-end.

Prague, la ville aux 100 clochers,
Cette église, fondée en 1232 par Venceslas Ier, fut en son temps l’une des quatre plus grandes de Prague. La façade actuelle, décorée dans le style baroque, date des années 1723 -1738. L’édifice abrite un mobilier presque entièrement baroque et d’une grande valeur ainsi qu’une grande quantité d’œuvres d’art, dont un célèbre Calvaire réalisé par F. M. Brokoff. C’est ici qu’est inhumé, entre autres personnalités, le grand peintre baroque tchèque Karel Škréta.

On va rejoindre la place Havelske pour rejoindre la place de l’horloge par de mignonnes petites ruelles piétonnes

A travers certains porches d’entrée d’immeubles, on peut voir des passages couverts ou des arcades qui mènent à des coures intérieurs avec restaurants




On s’approche de la place de l’horloge, on passe devant des boutiques des musées un peu hors catégories, musée de la terreur ou de sexe machine

Place de la Vieille Ville (Staroměstské náměstí)

La place la plus emblématique du centre historique de Prague fut créée au XIIe siècle, et a depuis été le témoin de nombreux événements majeurs. Elle est dominée par l’hôtel de ville de la Vieille Ville et la cathédrale du Týn, mais on y trouve également l’église Saint-Nicolas, de style baroque, le palais Kinský, de style rococo, la maison gothique dite À la Cloche de pierre et enfin l’impressionnant monument à la mémoire de Jan Hus. Sur les pavés de la place sont indiqués le lieu d’exécution des 27 seigneurs de Bohême (1621) et le méridien de Prague.

Hôtel de ville de la Vieille ville et l’horloge astronomique (Staroměstská radnice s orlojem)

Bâti en 1338, l’hôtel de ville était au départ le siège de l’administration autonome de la Vieille Ville de Prague. La partie la plus ancienne de ce complexe de bâtiments, de style gothique, consiste en une magnifique tour flanquée d’une chapelle en encorbellement et ornée d’une extraordinaire horloge astronomique sur laquelle apparaissent toutes les heures (de 9 h à 23 h) les marionnettes des 12 apôtres. Détruite lors du Soulèvement de Prague, le 8 mai 1945, l’aile est du bâtiment, de style néo-gothique, ne fut jamais reconstruite. La visite de l’hôtel de ville comprend les anciennes salles, la tour et les souterrains.

Batisses sur le place de la vieille ville

Sur la même place on aperçoit 2 églises :

notre dame de Tyn


Eglise notre dame de Tyn (entrée payante), avec ses clochers de 80 mètres de hauteur. L’église gothique a été un des symboles de la lutte entre catholiques et protestants en Bohême. Elle doit son nom à la cour du Týn, également appelée l’« Ungelt », une ancienne cour de marchands située à proximité. Historiquement, « týn » désignait au Moyen Âge un lieu fortifié. Sa silhouette marquée par ses tours hérissées de pointes, ses proportions étroites et hautes, les pierres sombres utilisées lui donne un aspect lugubre un brin menaçant. Le fait que l’entrée ne se fasse pas directement sur la place mais sur un couloir entre plusieurs maisons participent au mystère et au caractère unique de Notre Dame de Tyn.

Eglise Saint Nicolas : un des plus beaux monuments de Prague et l’une des plus belles églises baroques jamais construites « au nord des Alpes » (soit en dehors de l’Italie et de l’Autriche ?) Sa coupole est facilement reconnaissable depuis les nombreux panoramas qu’offre la ville. De nombreux concerts ont lieu dans l’église.

Exemple de « baroque radical » de Bohême. L’opulence, l’irrégularité, les courbes caractérisent l’architecture baroque. La façade est traitée comme une estrade de théâtre antique avec des colonnes et des niches peuplées de statues en représentation. L’intérieur est monumental. Malgré cela, l’irrégularité des piliers, la lumière et les ombres, la décoration intérieure laissent une place à la relation intime du croyant avec Dieu. Les sculptures expressives, l’ondulation des murs piliers et la fresque en trompe l’oeil sur la voute (la plus grande d’Europe avec 1500 m2) participent au côté dramatique de l’édifice. Le clair obscur de l’église est exceptionnelle. La coupole, les vitraux laissent rentrer la lumière, les dorures la propage – les voutes, les sculptures et les courbes maintiennent elles des zones d’ombres. Le baroque est le style artistique de la contre reforme (Eglise catholique) et donc celui la domination étrangère des Hasbourgs.

A partir de l’Eglise st Nicolas on se dirige vers le pont Charles, en passant devant l’eglise st. salvator (st sauveur) Kostel Nejsvětějšího Salvátora
Cette église est considérée comme l’un des monuments baroques les plus précieux de Prague. Elle fut autrefois la plus grande église de l’ordre des Jésuites en Bohême. Elle est actuellement occupée par la paroisse académique de l’Église latine, et des concerts d’orgue y ont également lieu. C’est ici que, dans les années 1780, Jakub Jan Ryba, compositeur d’une célèbre « Messe tchèque de Noël », a joué pendant plusieurs années de l’orgue, dont la partie centrale date de la moitié du XVIIe siècle.

Vers le Pont Charles,

Le pont Charles à Prague relie la Vieille ville (Stare Mesto) au quartier de Mala Strana. Unique pont sur la Vlatava jusqu’au 19ème siècle, le pont Charles a été construit pendant presque 50 ans jusqu’en 1402. Charles IV commande la création d’un pont de pierre avec une tour défensive fermant le pont du côté de la Vieille Ville.
A sa construction le pont est décoré d’un crucifix, de saint Venceslas, d’une piéta et d’une statue du martyr catholique Saint Jean Népomucène jeté dans le fleuve par le roi. Confesseur de la reine (adultère ?), il refusait de divulguer les détails croustillants de sa vie sentimentale au roi . D’autres statues furent ajoutées au 18ème et au 19ème. Des légendes veulent que les statues des saints s’animent la nuit pour se livrer à de savantes discussions. Le pont rappelle le Ponte dei Angeli à Rome.

Le pont Charles mesure 516 m de long sur 9,5 de large, il repo repose sur 16 piliers, comprenant 21 statues. La tour défensive est haute de 40 mètres.Le pont est piéton depuis 1974.

vue sur le chateau de Prague où nos irons demain passer la journée

les cadenas sont présents sur beaucoup de pont en Europe

On remonte du Pont Charles à l’autre pont plus haut Manesuv le long du Vltava, pour se rendre au quartier Juif

L’histoire des juifs de Prague est mouvementée. Elle vit fleurir l’une des communautés les plus importantes d’Europe centrale. De son histoire riche subsistent de nombreuses synagogues, quelques cimetières et une communauté renaissante après l’hécatombe de la seconde guerre mondiale…


Le manque d’espace les obligera à vivre et à construire une ville entassée, sombre, labyrinthique et sujette aux incendies… Une des images les plus célèbres du quartier juif de Prague : celles des tombes enchevêtrées et envahies par la végétation de son vieux cimetière juif. C’est en effet l’un des sites les plus importants du patrimoine juif de Prague encore subsistant, où de nombreux anonymes côtoient certaines de personnalités les plus célèbres de la communauté juive de la ville.


Le cimetière juif de Prague est l’une des plus vieilles nécropoles juives d’Europe, remontant à la première moitié du XVème siècle. La stèle la plus ancienne encore debout, d’un très grand dépouillement, date de 1439 : elle marque la sépulture du poète et grand érudit Abigdor Karo. La dernière inhumation dans le cimetière eut lieu en 1787, avant le décret impérial de Joseph II interdisant les enterrements dans le centre-ville.

On dénombre environ 12 000 pierres tombales de différentes époques blotties pêle-mêle dans un espace très resserré dans le cimetière juif de Prague. Le nombre de corps ensevelis est encore bien plus important : en effet, même si le cimetière a été élargi à plusieurs reprises dans le passé, sa surface est restée largement insuffisante pour la communauté juive du ghetto. Le déterrement des corps inhumés étant formellement proscrit, les tombes furent ainsi serrées, voire empilées sur plusieurs couches.

Synagogues de Prague. Le ghetto de Prague comme celui de Venise avant lui occupait une taille modeste pour une densité très importante. De nombreux incendies ont emporté au fur et à mesure des siècles les synagogues praguoises. Il reste de nombreux lieux de culte juifs encore aujourd’hui à Prague. Ils correspondent à différent mouvements religieux : Orthodoxe, réformiste…

  • 1 Synagogue Vieille-Neuve (Staronova synagoga) : La plus ancienne d’Europe centrale, éloignée des maisons et incendies
  • 2 Synagogue espagnole (Spanelska synagoga) de style mauresque à Prague
    Une énigmatique statue de Kafka chevauchant un manteau vide se trouve devant l’édifice religieux
  • 3 Synagogue néogothique Maisel (Maislova synagoga) : Construction néo-gothique
  • 4 Synagogue Klaus (Klausova synagoga) : Curiosité baroque
  • 5 Synagogue Pinkas (Pinkasova synagoga) : Hommage aux victimes
    80 000 noms de victimes de la barbarie nazie sont gravés sur les murs intérieurs
  • 6 Synagogue de Jérusalem à Prague : Style néo mauresque et couleurs kitsch

3 Synagogue néogothique Maisel

4 Synagogue Klaus

6. La synagogue de Jérusalem


Architecture art nouveau Josefov est l’un des quartiers les plus chics de la capitale tchèque. Reconstruit au 19e siècle, le quartier en porte les styles architecturaux.

Boutiques de luxe. L’avenue de Paris est l’une des plus belles de Prague. Les grandes griffes ne s’y sont pas trompées. Les magasins de luxe occupent les superbes immeubles art nouveau et art déco

En 1853, le baron Haussman a « liberé » Paris de ces ruelles sombres, insalubres, « mal famés » en traçant de grands boulevards bientôt bordés par des édifices bourgeois. Des boulevards sont tracés. Des ruelles élargies. Des maisons détruites. Beaucoup de maisons, de cours et d’arrières cours seront détruites. Le niveau du sol est remonté pour éviter les crus de la Vlatava proche. Les canalisations sont installées. Des maisons bourgeoises sont construites.

On mange dans le quartier Juif, dans une boulangerie / traiteur : salade bar au poids des quiches, tourtes… avocat, taboulé, tomate, salade => 590CZK = 23€

On mange sur les tabourets haut le long de la baie vitrée


BAKESHOP PRAHA S.R.O
KOZÍ 1,
U LUŽICKÉHO SEMINÁŘE 22,
110 00 PRAHA 1

Après manger, on redescend la rue de PAris (boutiques de luxe) pour rejoindre la place de la vieille ville et prendre rue Celetna pour arriver à la Tour Poudrière Prašná brána et la maison municipale


Il s’agit de l’un des monuments gothiques les plus imposants de Prague. Bâtie en 1475, la Tour poudrière constitue la porte d’entrée monumentale de la Vieille Ville qu’empruntaient autrefois les processions de couronnement des rois de Bohême. Elle doit son nom au fait qu’elle servit longtemps de dépôt de poudre à canon. Elle est encore aujourd’hui le point de départ de la Voie royale qui traverse la Vieille Ville pour remonter jusqu’au Château. Au sommet, la tour comporte une galerie située à 44 m de hauteur.

Un pont couvert relie la tour ténébreuse à la somptueuse Maison Municipale ; un contraste qui saute aux yeux des visiteurs.

La Maison municipale (Obecní dům) est un complexe architectural. Elle réunit une salle de concerts, un espace d’exposition, des salles de réception , un café et un restaurant de style Art nouveau au rez-de-chaussée, un cocktail-bar, une brasserie et un dancing au sous-sol.
Plutôt que « art nouveau », il faudrait dire « sécession viennoise ». La sécession viennoise se démarque par une prédominance de formes géométriques sur les formes « végétales » de l’art nouveau français ou belge.
A la fois au niveau de sa fonction et son style architecturale, on peut la rapprocher du Palau de la musica de Barcelone. Superbe bâtiment moderniste catalan.

À l’origine, à l’emplacement de la Maison municipale, se trouvait le Palais royal des souverains de Bohême. Les bâtiments palatins comprenaient des bains, des appartements pour les courtisans, une fosse aux lions et des jardins. La splendide Tour poudrière attenante témoigne des raffinements de la cour des rois de Bohême enrichie par les mines d’argent. La « voie royale » qui traverse la Vieille Ville de Prague et emprunte les rues Celetná et Králova témoigne du chemin que parcouraient les rois pour se rendre à leur couronnement en la Cathédrale Saint-Guy de Prague.

C’est, symboliquement, depuis le balcon de la Maison municipale que le 28 octobre 1918 a été proclamée l’indépendance du pays et la création de la Première République tchécoslovaque.

On reprend la rue Celetna pour retourner place de la vieille ville, en passant dans toutes ces ruelles on remarque beaucoup de snack / restau qui ont des deventures en forme de spirales, et noté « TRDELNIK » => ce sont en fait des spécialités hongroises, petite brioche parfumée à la canelle, qui cuit sur un rouleau en bois, et roulée dans un peu de sucre, c’est super BON et pas cher, on trouve tous les prix et tous les gouts

2/3 euros juste le trdelnik, sinon on peut le remplir de glace avec topping chocolat chaud, fraises chantilly pour 5euros

on mange note dessert / gouter sur la place

Bien fatigué de la journée et contrecoup du voyage de la veille, on rentre à l’hôtel se reposer, le soir on ressortira pour manger, dans une brasserie  U Fleků
Brasserie U Fleků (« Chez les Flek »)
Křemenkova 11
Prague 1 – Staré Město
www.ufleku.cz

La plus vieille brasserie de Prague; Sans doute le restaurant pragois le plus connu, « U Fleků » est situé dans le quartier de la Nouvelle Ville, non loin du Théâtre National. Il propose une excellente bière provenant de l‘ancienne brasserie abritée dans le même bâtiment. Fondée dès 1499, c’est l’une des plus vieilles brasseries de la capitale.

La bière est préparée selon les recettes anciennes dans des espaces réaménagés avec soin. La modernisation n’a cependant pas touché les parties historiques telles que l’ancienne salle de brassage, où la bière est toujours élaborée dans des cuves de fermentation et de réfrigération en bois de chêne.

L’atmosphère chaleureuse de la vieille maison  » chez les Flek  » est accentuée par l’aménagement insolite des salles, qui portent des noms originaux tels que l’ancienne salle tchèque, l’Académie, la salle des Chevaliers, l’Andouille, la Valise, la Václavka et l’Houblonnièrele siège du cabaret de Flek. Chaque salle a sa propre histoire et présente une décoration unique faite par des artistes tchèques, eux-mêmes clients réguliers du restaurant. On peut y déguster de la cuisine tchèque traditionnelle dans une ambiance festive et décontractée.

bières à 2.3€ les 40CL!!!

150 g Beef in cream, bread dumplings ………. 229,- CZK / plat typique tcheque roti de boeuf creme chantilly et aireilles… 8.5€ avec en cours et toujours des quenelles à toutes les sauces

150 g Moravia pork roasted pieces, sauerkraut, potato dumplings ………. 229,- CZK

et en entrée / accompagnemet je me suis trompée sur la commande/traduction je voulais des pommes noisettes et j’ai commandé … des quenelles :'(

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